jeudi 5 janvier 2017

[Chronique] La chimiste

La chimiste
Stephenie Meyer

Partenariat Hachette Canada
Éditions JC Lattès
555 pages

[Quatrième de couverture] Dans l'une des agences les plus secrètes du gouvernement américain, Alex est appelée « La chimiste » pour sa capacité hors normes à savoir faire parler les criminels. Mais détentrice d'informations trop confidentielles, l'agence va vouloir sa mort et vite...
 
Après quelques mois, son ancien responsable lui offre la chance d'effacer la cible qu'elle a dans son dos. Une dernière mission... une dernière trahison?
 
Elle se prépare au combat le plus difficile de sa vie mais un homme que tout devrait éloigner d'elle va bouleverser toutes les logiques, toutes ses certitudes...
 
Comment alors survivre à une chasse à l'homme quand on n'est plus seule à devoir se protéger?
 
 
[Ma chronique] J’ai été attirée par ce livre dès que j’ai vu sa couverture : simple, mais attrayante. Elle m’a tout de suite intriguée. Quand j’ai vu que c’était le dernier roman de Stephenie Meyer, ma curiosité fut piquée pour la deuxième fois. En effet, j’avais envie de voir où cette auteure (que j’ai découverte il y a plusieurs années grâce à la saga Twilight et que j’ai encore plus appréciée à la lecture de Les Âmes Vagabondes) allait m’apporter cette fois. Ces deux conditions étaient tout ce qu’il me fallait pour que je me lance dans La Chimiste.
 
La Chimiste, c’est l’histoire d’Alex (Juliana?), une scientifique surnommée «La Chimiste» alors qu’elle travaillait encore pour une agence secrète du gouvernement. On la découvre au tout début alors qu’elle est en fuite depuis plusieurs années, après que ses supérieurs aient tenté de la supprimer, croyant qu’elle détenait trop d’informations. J’ai été impressionné par les toutes les ressources qu’elle utilise pour se protéger et sauver sa peau; Toutes ces décoctions et ses inventions sont assez impressionnantes. Par contre, pour ce qui est du personnage en tant de tel, je n’ai pas pu m’empêcher, à plusieurs reprises, d’être exaspérés par son manque de confiance, mais surtout, par son côté paranoïaque extrême.
 
Évidemment, qui dit Stephenie Meyer, dit histoire d’amour et ce roman n’en fait pas exception. L’héroïne, malgré tout ce qu’elle traverse, finit par avoir elle aussi sa «love story». Je n’ai pas trouvé que la romance prenait «trop» de place dans l’histoire, mais je n’y ai pas cru pour autant. Quelle chance quand même que par hasard, l’homme qu’elle a kidnappé & torturé, soit un parfait gentleman et qu’en plus, il tombe amoureux d’elle. C’était trop facile, trop peu crédible pour moi.
 
En fait, j’ai passé un assez bon moment avec cette lecture, mais sans plus. N’empêche, l’auteure a su me captiver jusqu’à la fin, et m’a surprise avec ce nouveau roman, qui est d’un style tout à fait différent de ce qu’elle a déjà écrit. Et la fin m’a bien fait rire!
 
Je remercie Hachette Canada pour cette agréable lecture, que je conseille aux amateurs de romans d’action et d’histoires d’amour un peu clichées!
 
 
http://hachette.qc.ca/
 

2 commentaires:

  1. Je serais curieuse de le découvrir !

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  2. J'ai également passé un très bon moment avec ce livre : j'ai aimé son côté sombre, calculé et le fait qu'il me rappelle davantage "Les âmes vagabondes" que "Twilight". Par contre, je l'ai trouvé un peu trop prévisible : dès le départ, on sait que ça ne peut que bien finir...

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